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Rosaire

  • L'Ascension, Dieu, le Ciel

    La vie chrétienne est une vie qui tend au ciel, et l’on peut dire que c’est un ciel commencé sur la terre. Pour comprendre cela il faut savoir ce que l’on met sous le nom de ciel ; il faut savoir que le ciel, en tout les sens que ce mot peut avoir dans l’ordre spirituel, c’est la demeure de Dieu.

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  • Comment prier le Rosaire (3) ? Avec Marie (2/2)

    L'Ecriture ne dit là-dessus que peu de chose  ; elle est cependant éloquente pour celui qui veut comprendre, d'autant plus que, en dernière analyse, c'est la voix de Marie elle-même que nous entendons là. Car autrement, comment donc les évangélistes auraient-ils été renseignés sur le mystère de l'Incarnation, sur les premiers événements de l'enfance et sur le voyage à Jérusalem ? Si nous ne voulons pas considérer les premiers chapitres des Évangiles comme appartenant à la légende (mais chacun doit comprendre ce qu'il fait en ce cas : il prétend décider quelles paroles de l'Ecriture sont des paroles de Dieu et, par là, il supprime radicalement la révélation), nous sommes bien obligés de dire que les souvenirs de Marie, les événements de sa vie, Marie elle-même, sont à l'arrière-plan des Évangiles de l'enfance. Et non seulement à l'arrière-plan, car il est absolument inconcevable qu'ayant vécu près de trente ans avec le Seigneur, elle n'ait pas parlé de lui après son départ. 

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  • Comment prier le Rosaire (3) ? Avec Marie (1/2)

    Dans la sphère créée par la parole sainte, c'est Marie qui se présente immédiatement, figure centrale du rosaire.

    Dès les origines, elle a été chère au cœur chrétien. Déjà les disciples de Jésus l'entouraient tout spécialement d'amour et de respect en même temps. On le sent quand on recherche les textes des Évangiles et des Actes des apôtres où il est question d'elle en passant, mais, dans l'ensemble, à des reprises vraiment nombreuses. Le peuple chrétien a toujours aimé Marie d'un amour réservé à elle seule, et ce ne fut pas une heure favorable que celle où, pour honorer le Fils, des chrétiens crurent devoir rompre le lien très ancien qui les unissait à sa mère. 

    Qui est-elle ?  

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  • Comment prier le Rosaire (2) : la Parole créatrice

    Sur chaque grain, on récite une prière, c'est-à-dire des paroles empruntées soit à la Sainte Ecriture, soit à la tradition chrétienne. 

    La parole, le mot, est quelque chose de très riche, de vivant, et même de mystérieux. Une construction faite de voyelles et de consonnes par lesquelles celui qui parle communique à son auditeur ce qu'il porte en lui-même. Jusqu'à un certain  degré, on pourrait y parvenir aussi au moyen d'une simple exclamation - d'effroi ou de joie, ou de sympathie - cependant, ce ne serait pas encore là un véritable mot. Celui-ci naît seulement lorsque ce n'est pas uniquement un sentiment ou un état qui s'exprime par des sons, mais un ensemble coordonné, un sens, une vérité. Tandis que je parle, le mot est pour ainsi dire, dans l'espace et ce qui, auparavant, était enfermé en moi, est maintenant manifesté. Tous ceux qui entendent cette parole peuvent saisir ce que je pense. Puis le silence se fait et le sens est de nouveau à l'intérieur : en moi-même et en ceux qui l'ont perçu. 

     

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  • Comment prier le Rosaire (1)

    Le texte qui suit a été écrit par le père Romano Guardini. Nous pouvons trouver quantité de livres, brochures sur le Rosaire ou la prière du chapelet mais d'inégale qualité.

    Parmi les textes de qualité il faut recommander le travail de l'abbaye  de Chambarand qui a édité toute une série de livrets sur le rosaire médité  comme celui-ci : http://chambarand.fr/wp-content/uploads/Couv-Therese-pub-pour-envoi1.jpg

    Le mois d'octobre est traditionnellement consacré à la prière du Rosaire. C'est pour cette raison que le site "Traversées christiques" vous propose des textes de grande qualité sur ce chemin de spiritualité.  

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    Commençons par ce qui, dans le rosaire, étonne d'abord. 

    Pour cette prière, on se sert d'un secours extérieur : un cordon ou une chaîne avec des grains. Quelques-uns de ceux-ci sont plus gros que les autres, ou du moins en sont-ils plus nettement séparés. Dix petits grains et un grain plus gros forment une "dizaine". 

    La chaîne entière comprend cinq dizaines semblables. Elles sont précédées d'une sorte d'introduction formée par une petite croix que suivent un grain plus gros et trois petits. 

    Pour être complet et à l'intention de ceux qui n'ont aucune idée de cette pratique, ajoutons encore qu'il existe aussi d'autres formes de rosaire avec d'autres divisions, mais qui sont en usage en certains lieux seulement.

    Disons en outre que le chapelet a reçu, même extérieurement, des formes variées, parfois très belles et très précieuses, comme il est d'usage pour les objets que l'on honore et que l'on aime. Ce peut être quelque chose de très vénérable et en même temps de doux au cœur qu'un tel chapelet ancien, d'un beau travail, dont l'aspect montre que chaque génération en a fait usage et l'a transmis à l'autre. 

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  • Cinquième mystère douloureux : Jésus meurt sur la Croix

    Puis ils le crucifient et se partagent ses vêtements en tirant au sort ce qui reviendrait à chacun. C'était la troisième heure quand ils le crucifièrent. 

    L'inscription qui indiquait le motif de sa condamnation était libellée : " Le roi des Juifs."

    Et avec lui ils crucifient deux brigands, l'un à sa droite, l'autre à sa gauche. Les passants l'injuriaient en hochant la tête et disant : 

    - Hé ! Toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même en descendant de la croix !

    Pareillement les grands prêtres ricanaient entre eux avec les scribes et disaient :

    - Il en a sauvé d'autres et il ne peut se sauver lui-même ! Que le Messie, le roi d'Israël, descende de la croix : alors nous verrons et nous croirons.

    Même ceux qui étaient crucifiés avec lui l'insultaient.

    Évangile selon st Marc (Mc 15,24-32)

    Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l'Ecriture s'accomplisse jusqu'au bout, Jésus dit :

    - J'ai soif.

    Il y avait là un vase remplie d'une boisson vinaigrée. On fixa autour d'une branche d'hysope une éponge imbibée de vinaigre et on l'approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : 

    - Tout est accompli. 

    Puis, inclinant la tête, il remit l'esprit. 

    Évangile selon st Jean (Jn 19,28-30)

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  • Quatrième mystère douloureux : le portement de croix

    Et Pilate prononça qu'il fût fait droit à leur demande. Il relâcha celui qui avait été jeté en prison pour sédition et meurtre, celui qu'ils réclamaient. 

    Quant à Jésus, il le livra à leur bon plaisir. 

    Quand ils l'emmenèrent, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus.

       Évangile selon St Luc (Lc 23,23-25)

    Ils prirent donc Jésus. Et il sortit, portant sa croix, et vint au lieu dit du Crâne, ce qui se disait en hébreu Golgotha.

       Évangile selon St Jean (Jn 19,16-18)

    Des gens du peuple en foule nombreuse le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur lui. Mais se retournant vers elles, Jésus dit :

    - Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants ! Car voici venir des jours où l'on dira : heureuses les femmes stériles, heureuses celles qui n'ont pas mis au monde et n'ont pas allaité ! On en viendra à dire aux montagnes : tombez sur nous ! et aux collines : couvez-nous ! Car si l'on traîte ainsi l'arbre vert, que fera t-on de l'arbre sec ?

    On emmenait également deux malfaiteurs pour être exécutés avec lui, et quand on arriva au lieu-dit du Crâne, on le mit en croix. 

       Évangile selon St Luc (Lc 26, 27-33)

    Ils le crucifièrent

       Évangile selon St Jean (Jn 19,18)

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  • Troisième Mystère douloureux : le couronnement d'épines

    Les soldats, tressant une couronne avec des épines, la lui posèrent sur la tête, et ils le revêtirent d'un manteau de pourpre ; et ils s'avançaient vers lui et disaient :

    - Salut, roi des Juifs !

    Et il lui donnaient des coups. 

    Évangile selon st Jean (Jn 19,2-3)

    Et ils lui frappaient la tête avec un roseau et ils lui crachaient dessus, et ils ployaient le genou devant lui pour lui rendre hommage. Puis, quand ils se furent moqués de lui, ils lui otèrent la pourpre et lui remirent ses vêtements. 

    Évangile selon st Marc (Mc 15, 19-20)

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  • Deuxième mystère douloureux : la flagellation

    Ayant convoqué les grands prêtres, les chefs et le peuple, Pilate leur dit : 

    - Vous m'avez présenté cet homme comme détournant le peuple, et voici que moi je l'ai interrogé devant vous, et je n'ai trouvé en cet homme  aucun motif de condamnation pour ce dont vous l'accusez. Hérode non plus d'ailleurs, puisqu'il l'a renvoyé devant nous. Vous le voyez ; cet homme n'a rien fait qui mérite la mort. Je le relâcherai donc, après l'avoir châtié."

    Évangile selon st Luc (Lc 23, 13-16)

    Pilate prit alors Jésus et le fit flageller (Jn 19,1)

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  • Sur les mystères douloureux du Rosaire

    Ce second cycle embrasse les événements des derniers jours, depuis le jeudi soir jusqu'à la nuit de Pâques.

    Auparavant, Jésus a quitté son pays pour commencer sa vie publique, il a prêché, agi et lutté, il n'a pas trouvé d'accueil parmi les hommes, il a persévéré dans une solitude inconcevable pour nous et le royaume de Dieu ne s'est pas réalisé, comme c'eût été possible qu'il se réalisât si "les siens l'avaient reçu " (Jean 1,11)

     

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  • 1er mystère douloureux : l'Agonie de Jésus au Jardin de Gethsémani

    Alors Jésus parvient avec eux à un domaine appelé Gethsémani, 

    et il dit aux disciples :

    - Restez ici, tandis que je m'en irai prier là-bas.

    Et prenant avec lui Pierre et les deux fils de Zébédée, 

    il commença à ressentir tristesse et angoisse. 

    Alors il leur dit :

    - Mon âme est triste à en mourir, demeurez ici et veillez avec moi. 

    Etant allé un peu plus loin,

    il tomba face contre terre en faisant cette prière:

    - Mon Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de moi ! Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux.

    Il vient vers les disciples et les trouve en train de dormir ; 

    et il dit à Pierre :

    - Ainsi, vous n'avez pas eu la force de veiller une heure avec moi ! Veillez et priez pour ne pas entrer en tentation : l'esprit est ardent, mais la chair est faible. 

    A nouveau, pour la deuxième fois, il s'en alla prier : 

    - Mon Père, dit-il, si cette coupe ne peut passer sans que je la boive, que ta volonté soit faite !

    Puis il vint et les trouva à nouveau en train de dormir ; car leurs yeux étaient appesantis. 

    Il les laissa et s'en alla de nouveau prier une troisième fois, répétant les mêmes paroles. 

    Alors il vient vers les disciples et leur dit :

    - Désormais vous pouvez dormir et vous reposer : voici toute proche l'heure où le Fils de l'homme va être livré aux mains des pécheurs. levez-vous ! Allons ! Voici tout proche celui qui me livre. 

    Évangile selon saint Matthieu (Mt 26,36-46)

     

     

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  • Cinquième mystère joyeux : le Recouvrement de Jésus au Temple

    Ses parents se rendaient chaque année à Jérusalem pour la fête de la Pâque.

    Et lorsqu'il eut douze ans, ils y montèrent, comme c'était la coutume pour la fête.

    Une fois les jours écoulés, alors qu'ils s'en retournaient, 

    l'enfant Jésus resta à Jérusalem à l'insu de ses parents. 

    Le croyant dans la caravane, ils firent une journée de chemin, 

    puis ils se mirent à le rechercher parmi leurs parents et connaissances. 

    Ne l'ayant pas trouvé, ils revinrent toujours à sa recherche, à Jérusalem.

    Et il advint, au bout de trois jours,

    qu'ils le trouvèrent dans le Temple,

    assis au milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant ;

    et tous ceux qui l'entendaient étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses.

    A sa vue, ils furent saisis d'émotion, et sa mère lui dit :

    "Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois ! Ton père et moi, nous te cherchons angoissés."

    Et il leur dit :

    "Pourquoi donc me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas que je dois être dans la maison de mon Père ?"

    Mais eux ne comprirent pas la parole qu'il venait de leur dire.

    Évangile selon st Luc (Lc 2,41-50)

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  • Quatrième mystère joyeux : La Présentation au Temple

    Lorsque furent accomplis les jours pour leur purification,

    selon la loi de Moïse,

    ils l'emmenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur,

    selon qu'il est écrit dans la Loi du Seigneur :

    tout garçon premier-né sera consacré au Seigneur,

    et pour offrir en sacrifice, suivant ce qui est dit dans la Loi du Seigneur,

    un couple de tourterelles ou deux jeunes colombes. 

    Et voici qu'il y avait à Jérusalem un homme du nom de Syméon.

    Cet homme était juste et pieux ; il attendait la consolation d'Israël

    et l'Esprit Saint reposait sur lui.

    Et il avait été divinement averti par l'Esprit Saint qu'il ne verrait pas la mort avant d'avoir vu le Christ du Seigneur.

    Il vint donc au Temple, poussé par l'Esprit,

    et quand les parents apportèrent le petit enfant Jésus pour accomplir les prescriptions de la Loi à son égard,

    il le reçut dans ses bras, bénit Dieu et dit :

    "Maintenant, ô Maître Souverain, tu peux laisser ton serviteur s'en aller en paix, selon ta parole.

    Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples :

    lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël."

     

    Évangile selon st Luc (Lc 2, 22-32) 

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  • Troisième mystère joyeux : la naissance de Jésus

    Or il advint, en ces jours-là, que parut un édit de César Auguste, ordonnant le recensement de tout le monde habité. 

    Ce recensement, le premier, eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. Et tous allaient se faire recenser, chacun dans sa ville. 

    Joseph aussi monta de Galilée, de la ville de Nazareth, en Judée, à la ville de David, qui s'appelle Bethléem, - parce qu'il était de la maison et de la lignée de David - afin de se faire recenser avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte. 

    Or il advint, comme ils étaient là, que les jours furent accomplis où elle devait enfanter. Elle enfanta son fils premier-né, l'enveloppa de langes et le coucha dans une crèche, parce qu'ils manquaient de place dans la salle.

    Évangile selon st Luc (Lc 2, 1-7)

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  • Deuxième mystère joyeux : la Visitation

    " En ces jours-là, Marie partit et se rendit en hâte vers la région montagneuse, dans une ville de Juda.

    Elle entra chez Zacharie et salua Elisabeth.

    Et il advint, dès qu'Elisabeth eut entendu la salutation de Marie, que l'enfant tressaillit dans son sein et Elisabeth fut remplie d'Esprit Saint.

    Alors elle poussa un grand cri et dit : "Bénie es-tu entre les femmes, et béni le fruit de ton sein ! Et comment m'est-il donné que vienne à moi la mère de mon Seigneur ? Car, vois-tu, dès l'instant où ta salutation a frappé mes oreilles, l'enfant a tressailli d'allégresse en mon sein. Oui, bienheureuse celle qui a cru en l'accomplissement de ce qui lui a été dit de la part du Seigneur."

    Évangile selon st Luc (Lc 1,39-45)

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  • Premier mystère joyeux : l'Annonciation

    " Le sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, du nom de Nazareth, à une vierge fiancée à un homme du nom de Joseph, de la maison de David; et le nom de la vierge était Marie.

    Il entra et lui dit : "Réjouis-toi, comblée de grâce, le Seigneur est avec toi." 

    A cette parole elle fut toute troublée, et elle se demandait ce que signifiait cette salutation. 

    Et l'ange lui dit : "Sois sans crainte, Marie ; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus. Il sera grand, et sera appelée Fils du Très-Haut. Le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera sur la maison de Jacob pour les siècles et son règne n'aura pas de fin."

    Mais Marie dit à l'ange : "Comment cela sera t-il, puisque je ne connais pas d'homme ?"

    L'ange lui répondit : "L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre; c'est pourquoi l'être saint qui naîtra sera appelé Fils de Dieu. Et voici qu'Elisabeth, ta parente, vient, elle aussi, de concevoir un fils dans sa vieillesse, et elle en est à son sixième mois, elle qu'on appelait la stérile; car rien n'est impossible à Dieu."

    Marie dit alors : "Je suis la servante du Seigneur; qu'il m'advienne selon ta parole !" 

    Et l'ange la quitta. 

    Évangile selon st Luc (Lc 1,26-38)

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  • Cinquième mystère glorieux : le couronnement de la Vierge

    Un signe grandiose apparut au ciel : une Femme !

    Le soleil l'enveloppe, la lune est sous ses pieds

    et douze étoiles couronnent sa tête. 

    Livre de l'Apocalypse (Ap 12,1)

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  • Quatrième mystère glorieux : l'Assomption de Marie

    Oui, désormais toutes les générations me diront bienheureuse,

    car le Tout-Puissant a fait pour moi de grandes choses. 

     

    Évangile selon saint Luc 1,48-49 (Lc 1,48-49)

     

    Alors, puisque l'Eglise universelle, en laquelle vit l'Esprit de vérité, cet Esprit qui la dirige infailliblement pour parfaire la connaissance des vérités révélées, a manifesté de multiples façons sa foi au cours des siècles, et puisque les évêques du monde entier, d'un sentiment presque unanime, demandent que soit définie , comme dogme de foi divine et catholique, la vérité de l'Assomption au ciel de la Bienheureuse Vierge Marie

    - vérité qui s'appuie sur les Saintes Lettres et ancrée profondément dans l'âme des fidèles , approuvée depuis la plus haute antiquité par le culte de l'Eglise, en parfait accord avec les autres vérités révélées, démontrée et expliquée par l'étude, la science et la sagesse des théologiens -

    nous pensons que le moment fixé par le dessein de Dieu dans sa Providence, est maintenant arrivé où nous devons déclarer solennellement cet insigne privilège de la Vierge Marie. 

         Pie XII - Proclamation du dogme de l'Assomption de Marie

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  • Troisième mystère glorieux : la Pentecôte

    Le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils se trouvaient tous ensemble dans un même lieu, quand, tout à coup, vint du ciel un bruit tel que celui d'un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils se tenaient. Ils virent apparaître des langues qu'on eût dites de feu; elles se partageaient, et il s'en posa une sur chacun d'eux. Tous furent alors remplis de l'Esprit Saint et commencèrent à parler en d'autres langues selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer.

    Ac 2, 1-4

     

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  • Deuxième mystère glorieux : l'Ascension

    A ces mots, sous leurs regards, il s'éleva, et une nuée le déroba à leurs yeux.

    Et comme ils étaient là, les yeux fixés au ciel pendant qu'il s'en allait, voici que deux hommes vêtus de blanc se trouvèrent à leurs côtés;

    ils leur dirent :

    Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous ainsi à regarder le ciel ? Ce Jésus qui, d'auprès de vous, a été enlevé au ciel viendra comme cela, de la même manière que vous l'avez vu s'en aller vers le ciel.

    Acte des Apôtres (Ac 1,9-11)

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