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  • 11. Sagesse du désert - la miséricorde

    L’abbé Poemen a dit : « Si un homme pèche et reconnaît sa faute en disant : « j’ai péché », ne lui adresse aucun reproche, car tu détruirais sa bonne résolution. Mais si tu lui dis : « N’en sois pas attristé, mon frère, mais dorénavant fais attention », eh bien, tu l’aideras à faire pénitence. » (Apophtegme)

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  • Une initiation à la vie spirituelle (12)

    Lorsque nous considérons Jésus-Christ, le juste par excellence, et la manière dont il nous a rachetés, les paradoxes évoqués ici s’éclairent de façon décisive. Plus que Moïse, il s’est solidarisé avec nous, il a pris sur lui nos péchés, lui qui était sans péché, et il s’est laissé conduire au gibet comme un malfaiteur. Il n’a pas fait de théorie sur les origines du mal, il n’a fourni aucune explication sur le fait du péché originel et sur les circonstances de son apparition, mais il s’est fait péché pour nous (cf. 2 Co 5,21). Les éclaircissements abstraits pourraient satisfaire nos intelligences, mais ils ne nous seraient d’aucun secours pratique. Ce que nous demandons, c’est d’être délivrés réellement du mal, nous-mêmes, nos semblables et le monde. À cette supplication, le Christ Jésus apporte le seul remède efficace : il nous invite à nous placer parmi les pécheurs qui sont devenus ses amis, à l’exclusion des autres qui s’estiment justes et qui cherchent à se distinguer du vil peuple sans foi ni loi.

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